THEORIE

Le corps topologique de la droite réelle, comme nous venons de le décrire dans notre article précèdent serait l’objet intellectuel fondamental sur lequel devraient se rapporter toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature, à condition, de le dresser dans une nouvelle version dite matricielle, qui projette l’ensemble des entiers naturels sur un espace fonctionnel complet, fini et sans bord. Ce nouveau paradigme nous permet d’aborder les principes de la science physique à travers une géométrie algébrique d’ordre complexe, qui dote chaque point de l’espace d’une identité cinétique singulière, qui le lie selon un principe de causalité parfaitement bien codifié, à l’histoire cinétique de l’intégralité des points qui structurent l’espace que nous appelons complet, fini et sans bord, incarné par une sorte de droite complexe dont la configuration topologique, fluctue entre la singularité du point et l’ambigüité super-symétrique du tore sphérique, entre lesquels, s’expriment toutes les figures que puisse imager la nature. La raison de la pensée humaine, ne fait donc, que suivre les courbures de cette droite complexe, à la recherche d’un itinéraire qui lui permettrait de balayer aller-retours, sans obstacle et sans paradoxe, toutes les dimensions qui structurent la cohésion harmonieuse de notre univers, pour ainsi dire, lier les fondements de la réalité du monde sensible, à ceux de l’abstraction des mathématiques, dans un système complet, unificateur aussi bien, de la combinaison matricielle de l’ensemble des entiers naturels, que des interactions électrodynamiques fondamentales du modèle standard de la physique des particules élémentaires.

La grande théorie, EDDAAL.A, art 266, supersymetrie.Centerblog