THEORIE

Tout le mystère, des dimensions cachées de l’enceinte de notre univers serait lié à la façon, dont il serait possible de remonter l’histoire de la géométrie synthétique, dite euclidienne. Celle-ci définit la réalité d’un espace sur lequel nous tenons debout, alors que notre équilibre et notre stabilité puisent leurs forces, des dimensions topologiques profondes de la géométrie dite non euclidienne au sens large du terme. Cette géométrie fluctue entre le plan euclidien, fondé sur le simple étalage linéaire de la singularité géométrique du point, et la super-symétrie ambiguë du tore sphérique, l’aboutissement final de l’exploit méthodologique d’une géométrie, dite non commutative d’ordre algébrique complexe, procurant à ce point une identité fonctionnelle, capable de marier la cinétique des ingrédients de base de la matière, au roulement hélicoïdal du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle, qui devrait faire du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturel, l’outil operateur d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, dont la continuité serial et cyclique, sans obstacle et sans paradoxe, serait saisie par la fonction du temps, dans un ordre intermittent cyclique, dit chronologique. C’est cet ordre qui nous permet de suivre sur le plan conceptuel, l’histoire proprement dite de l’enceinte de notre univers, tout en faisant la part, entre un espace primordial, dit formel, atemporel, qui cache les dimensions profondes d’une géométrie émergente dite euclidienne, qui elle, étale l’évidence chronologique réelle des isométries rugueuses et évolutives d’un espace différencié et sensible, concordant parfaitement avec les limites normées et bornées de nos sens. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 400, supersymétrie.centerblog