THEORIE

En vérité, notre intuition ne cesse d’initier le flux algorithmique abstrait du raisonnement mathématique, à restituer l’image du principe de causalité fondamental, à l’origine des symétries d’ordre géométriques profondes, qui régissent de proche en proche, la complétude fonctionnelle des rugosités évolutives du monde sensible. Le but essentiel, sous-jacent et discret, de la pensée mathématique, c’est de redresser le statut numérique du corps topologique de la droite réelle afin de le rajuster, comme il se doit, au déploiement super-symétrique, fini et sans bord, de l’enceinte de notre univers depuis sa phase gravitationnelle primordiale, jusqu’au bout de sa phase différentiée et massive. Autrement dit, c’est de remonter l’histoire des transformations géométriques de l’espace fondamental selon un principe de causalité fonctionnel, qui projette dans un ordre segmentaire (vectoriel) les connexions qui communiquent, sans obstacle et sans paradoxe, toutes les singularités géométriques de l’espace universel, loin des systèmes de coordonnées classiques. Voilà donc, l’intérêt miraculeux de la version matricielle carrée à dix dimensions de base du corps topologique de la droite réelle, qui charpente le pavage d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, dont l’analyse méthodique et systématique devrait rendre compte des dimensions cachées de l’enceintes de notre univers.

Cet énoncé simple, et très restreint, nous mène encore une fois, à comprendre, que l’esquisse de notre univers est a priori géométrique. Et, que cette géométrie, n’est que le fruit de la relation naturelle préétablie entre l’abstraction logique des mathématiques et la réalité physique du monde sensible, dont emane la conscience humaine, qui essaye inlassablement de se repérer, au-delà des dimensions émergentes de son propre environnement. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 450, 22.01.2017, supersymetrie.Centerblog.net