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Géométrisation de la physique, et Boson de Higgs(B.E.H)

Publié le 19/05/2017 à 21:25 par supersymetrie Tags : centerblog monde article nature cadre pouvoir pensée éléments sur
Géométrisation de la physique, et Boson de Higgs(B.E.H)

Une alliance solennelle, entre les ingrédients de base de la matière, et les entiers naturels.

 

La géométrisation du modèle standard de la physique des particules élémentaires, réside essentiellement dans la façon dont se performerait la relation abstraite entre la combinaison intégrale des éléments de l’ensemble des entiers naturels, et les forces résultant du déploiement hiérarchique de l’arbre généalogique des ingrédients de base de la matière. Aux yeux de la pensée mathématique, cette relation aurait comme support analytique, une géométrie algébrique d’ordre complexe, sur laquelle devraient se rapporter tous les exploits de la science fondamentale unifiée. Sur le plan didactique élémentaire, cette géométrie, prendrait tout simplement comme point de départ, la configuration du corps topologique de la droite réelle dans une version dite matricielle carrée à dix dimensions de base qui, sous l’égide axiomatique de la théorie naïve des ensembles, et grâce à une fonction de complémentarité invariante, réduit l’ensemble des entiers naturels à dix groupes de classes d’équivalences de nombres absolus. Aux yeux du physicien, cette fonction jouerait le rôle d’un principe de causalité universel, qui régit la distribution fractale de l’arbre généalogique des ingrédients de base de la matière. Les tiges évolutives de cet arbre, façonnent la trame d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, qui procure a l’enceinte de notre univers un sens géométrique fini et sans bords.

Ce scenario abstrait, préétabli par la nature, nous permet d’imager géométriquement le mécanisme d’action du phénomène de Higgs(B.E.H), celui-ci se présente comme un nœud, résultant d’un croisement différentiel précis des fluctuations ondulatoires du vide quantique. Ce nœud, à travers son induction de nouveaux champs de gravite quantique, élabore de proche en proche le confinement des éléments émergents de la matière sensible et massive. Tout ceci, pour dire que la figure exacte du Boson de Higgs(B.E.H), ne peut se concevoir, que dans un cadre géométrique global, qui donne un sens hiérarchique significatif à la nomenclature du modèle standard de la physique des particules élémentaires. Chose, que les exploits expérimentaux de la physique à haute énergie, ne peuvent réaliser. Car, ceux-là, ne font que défigurer la nature de nœuds résultant des fluctuation ondulatoires du vide quantique, qui sous les choc de collisions, libèrent leurs contenus, en segments d’ondes dans un ordre aléatoire, extrêmement difficile à analyser, au lieu de nous renseigner convenablement, sur la manière dont ces nœuds se performent, de proche en proche, dressant les clés de voutes architecturaux d’un réseau de communication énergétique universel, qui transmet par à-coup, la mémoire cumulée  de ses croisements sous forme d’informations structurées  et intelligibles, au monde sensible.

Mathématiquement, la géométrisation de l’enceinte de notre univers, c’est donc, l’élaboration d’une droite complexe, qui se passe de l’axe du temps conventionnel, tout en   puisant ses repères fondamentaux, des dimensions profondes et invisibles de l’espace ténébreux. Cela, procure à tout point de l’espace universel, le pouvoir de s’identifier et de retrouver automatiquement le chemin de ses propres origines gravitationnelles, sans se soucier de la cinétique des spectres lumineux qui forgent, à notre regard, les formes et les couleurs des quatre dimensions émergentes de l’espace-temps. Autrement dit, toutes les lois de la nature émaneraient d’un modèle géométrique invariant, mais flexible, qu’il suffirait d’analyser  dans un ordre phasique dit spectral, pour comprendre comment un champ gravitationnel primordial, à travers son roulement méthodique et systématique, finit par transformer une énergie cinétique libre, en une énergie différentiée et massive, qui structure les rugosités évolutives du monde sensible.

Ce nouveau paradigme, d’ordre géométrique pure,  donne un sens physique au déploiement matriciel carré à dix dimensions du corps topologique de la droite réelle, qui établit une relation géométrique entre les versions corpusculaires des  particules élémentaires, et leurs interactions dites fondamentales. Et, nous mènera encore loin, vers l’identification de la nature exacte de la matière noire et la matière sombre qui ne sont finalement, que les deux compartiments dominats d’une énergie cinétique libre, qui se déploie sous forme d’espaces fibrés dépourvus d’interactions palpables, mais jouent un rôle essentiel dans le tissage de la toile d’énergie qui structure la complétude fonctionnelle de l’enceinte de notre univers, depuis sa phase gravitationnelle pure, jusqu’au bout de sa phase émergente, différenciée et massive, que nous appelons tout simplement, l’espace-temps, dont les normes, nous sont accessibles, lisibles et mesurables.

Finalement, nous pouvons conclure que la gravité est omniprésente dans la structure géométrique l’enceinte de notre univers, car elle représente le facteur essentiel d’une loi ultime, qui devrait régir aussi bien le déploiement hiérarchique des ingrédients de base de la matière, que les forces fondamentales dites électrofaibles et nucléaires fortes, qui découlent de la formation de nœuds plus ou moins serrés, articulant la flexibilité multidimensionnelle de l’enceinte de notre univers. A partir de là, nous sommes libres de réfléchir, comment aborder une science fondamentale unifiée. Où, mathématique, physique et biologie, ne sont que les fruits d’un modèle géométrique préétabli harmonieusement par la nature, et qui ne laisse aucun phénomène, matérialisé ou immatérialisé qu’il soit, sans lui attribuer un sens numérique et gravitationnel. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 460, 19.05.2017, supersymetrie.Centerblog.net