THEORIE

Les phénomènes étranges de la physique quantique tel que l’intrication, la superposition et la dualité onde-corpuscule, sont en vérité, le résultat des performances supersymétriques de l’emboitement corpusculaire de la gamme complète des particules élémentaires de la matière. Chaque corpuscule est une catégorie spectrale d’ondes qui se raccordent dans un ordre dicté par les transformations cinétiques d’une onde gravitationnelle primordiale qui, après une succession itérative de rotations, d’enroulements et de translations, centripète, finit par se dissiper dans le monde quantique.

Les propriétés cinétiques des particules élémentaires de la matière, et surtout les variétés complexes de leurs interactions, sont finalement conditionnées par la nature supersymétrique du mécanisme méthodique de leur déploiement. Cette supersymétrie est orchestrées par l’engrenage de l’esprit géométrique, dit qualitatif, de la combinaison matricielle carrée à dix dimensions de base du noyau générateur de l’ensemble des entiers naturels. Celui-ci, projette le corps topologique de la droite réelle classique en une nouvelle version, dite complexe, qui cerne l’intégralité de l’espace-temps, dans un système fonctionnel complet, normé et borné, dont émanent toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature.

La théorie du tout consiste donc, à mettre en évidence la relation fondamentale, innée, qui raccorde géométriquement l’ordre logique de l’ensemble des entiers naturels au déploiement cinétique du modèle standard des particules élémentaires de la physique quantique.

La grande théorie, EDDAAL.A, article 513, 23.11.2025, supersymetrie.centerblog.net