THEORIE

l’article précédent nous a dressé une image extrêmement délicate sur la nature du confinement de la trame de l’espace-temps, et sa configuration de part et d’autre d’un seuil critique référentiel dont les fondements sont géométriques pures, dictés par les fluctuations du rapport surface/volume, sur lequel nous reviendrons plus tard. Pour le moment nous allons nous intéresser à la dimension temporelle qui s’est identifiée d’une manière tout à fait fortuite, comme ayant un rapport très étroit avec la qualité des interaction fondamentales, et par ailleurs comme l’outil qui  sculpte la rugosité du monde sensible et qui estampe les deux bouts extrêmes de notre univers. La dimension temporelle a la particularité extraordinaire de s’effacer chaque fois que le rapport surface/volume frôle l’un de ses deux bords extrêmes, autrement dit, le zéro temporel serait bidimensionnel, et le premier instant de notre univers serait partagé entre ces deux dimensions, qui se contrebalancent de part et d’autre du seuil neutre que nous appelons, le chiasma électrodynamique du modèle standard, et qui jouerait le véritable rôle de l’instant zéro effectif, séparant l’univers formel sans masse, de l’univers différencié, sensible et massif. C’est comme ça que se présente notre géométrie unificatrice des interactions fondamentales, qui a le pouvoir de mettre fin aux tendances infinies dont souffrent les fondements théoriques de la physique quantiques depuis presque un siècle.

La géométrie unificatrice des interactions fondamentale est un objet mathématique pur qui puise ses intelligibilité de la fameuse théorie des nombres, et sa vitalité du modèle standard de la physique des champs quantiques dans une nouvelle version, dite complète. C’est une géométrie qui parle d’elle-même, tout en exhibant ses propres valeurs et ses propres principes qui s’appliquent à un monde dont elle incarne l’image en miroir, de toutes les symétries fonctionnelles nécessaires à sa procréation et à sa subsistance, parmi ses valeurs fondamentales existe le concept du facteur temps qu’elle définit comme une entité thermodynamique pure, qui joue un rôle essentiel dans la sculpture de la matière inerte, et la morphogenèse de la matière vivante. EDDAAL.A