THEORIE

Comme nous l’avions identifié dans nos articles précédents, le facteur temps serait une entité physique pure, dont le rythme serait intimement lié à la qualité des séquences d’interactions plus ou moins complexes régies par les lois thermodynamiques qui structurent globalement l’intégrité d’un système complet, qu’est l’enceinte de notre univers. La perception intuitive du roulement cyclique du flux temporel, émane de la performance compétitive continue des échanges d’énergie qui se dissipe entre les confinements des mailles plus ou moins serrées de la trame de l’espace-temps. Celui-ci désigne l’état de l’énergie dans sa phase différenciée, massive, dont les fonctions fluctuent entre les interactions simples, mais significatives des champs quantiques, et les inter-calages plus ou moins complexes de corpuscules de matière qui structurent de proche en proche l’état d’une substance organique de plus en plus autonome dans sa réplication(éléments identiques), puis dans sa reproduction(éléments semblables), et dont l’espérance de vie, serait conditionnée par l’état d’équilibre thermodynamique ouvert de l’environnement nécessaire à sa subsistance. La vie c’est donc le titre d’un processus thermodynamique initialement parfaitement bien codifié, dont l’aboutissement chaotique final, donne un coup de fouet à une liberté d’ordre aléatoire de combinaisons d’informations préétablies, sources de toutes les variétés du vivant. Finalement, l’enceinte de notre univers serait tout simplement une sorte d’horloge d’ordre thermodynamique qui étale le débit cyclique de la combustion de ses propres constituants intrinsèques, sans s’y soumettre. Ainsi la vie, serait une norme tout à fait logique, qui s’est forgée parmi la série de sommation de normes isométriques d’un espace fonctionnel complet normé et borné, qu’on appelle tout simplement, l’espace-temps, structure ultime de l’enceinte de notre univers. EDDAAL.A