THEORIE

Une lecture minutieuse et attentive des derniers articles concernant la modélisation et la simulation du vide quantique, nous permet de catégoriser l’univers en deux compartiments, mêlés et interdépendants. Chaque compartiment serait le générateur d’un groupe de classes d’équivalences d’espaces dont la suite des transformations, méthodique et systématique, serait dictée par un principe de causalité d’ordre  universel, qui fait de la singularité géométrique du point, une énergie dont l’intelligibilité cinétique, serait capable de retracer sans obstacle et sans paradoxe, l’histoire de la complétude fonctionnelle des deux compartiments en question. La beauté logique de ce scénario réveille en nous, encore une fois, la liaison préétablie entre la pensée humaine, et le monde sensible, c’est-à-dire, entre les mathématiques et la science physique. Cette intuition brulante, nous incite à chercher les dimensions cachées de notre univers, entre les plis profonds du corps topologique de la droite réelle dans une nouvelle version géométrique, d’ordre complexe, qui dote chaque entier naturel d’une configuration topologique spécifique dans l’espace, ce qui permet à tous les points de de cet espace, y compris ceux du système des coordonnées classiques, de se déployer dans un ordre cumulatif matriciel, et de se reconnaitre, instantanément et en permanence à travers le mouvement et la performance de leurs rapports fonctionnels, au même titre que les fonctions d’ondes des particules élémentaires de la matière, dans leurs versions corpusculaires, s’intercalant dans un ordre qui génère la complétude des interactions électrodynamiques fondamentales du modèle standard quantique, dans sa version dite super-symétrique. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, art280, supersymetrie.Centerblog