THEORIE

Nous venons de parfaire notre dernier article par l’émergence de l’espace-temps, c’est à dire, la phase ultime d’une série de transformations d’un espace primordial qui, par un mécanisme de rotation, roulement et translation parfaitement bien codifiés, aboutit en fin de compte, à un état différentié et sensible, qui réincarne à la lettre, l’intelligibilité naïve des performances segmentaires du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle, qui organise la sommation des combinaisons aléatoires des entiers naturels, dans un ordre complet, significatif et cohérent, en catégorisant les nombres, en groupes de classes d’équivalences numériques assortis dans leur inter-calage géométrique virtuel, simulant avec une précision inouïe le profil des fluctuations ondulatoires du vide quantique, entre la singularité géométrique du point, et la super-symétrie ambigüe du fameux tore sphérique. Autrement dit, le corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle serait en vérité, une entité géométrique fonctionnelle qui, à travers le jeu de ses combinaisons numériques, serait capable de calligraphier le mouvement de l’espace dans son intégralité, entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers. Ainsi, chaque point de l’espace aura sa propre et spécifique identité numérique, ayant le pouvoir extraordinaire de retracer de proche en proche sans obstacle et sans paradoxe, la configuration complète du corps topologique de la droite réelle. C’est-à-dire que, par analogie, chaque singularité géométrique ponctuelle de l’espace saura remonter aisément sa propre histoire cinétique, tout en repérant son itinéraire, à travers ses rapports, et les rapports de ses rapports environnementaux, qui structurent dans leurs raccords, un espace fonctionnel complet, normé et borné, sur lequel devrait se rapporter le sens du concept fini et sans bord, de l’enceinte de notre univers. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 357, supersymétrie.Centerblog