THEORIE

La théorie du tout consiste à faire converger l’essence de toutes les sciences fondamentales vers un concept unique, d’ordre géométrique, capable de formuler les propriétés fonctionnelles d’un espace complet, unificateur de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Nous venons de voir dans notre dernier article, qu’il n’y a pas plus universel, que le corps topologique de la droite réelle, surtout quand on arrive à établir le principe géométrique, qui régit la transcription hélicoïdale de l’ensemble des entiers naturels, en groupes de classes d’équivalences de nombres, qui eux-mêmes se catégorisent en une suite de sous-groupes connexes, dont la perfection élitiste aboutit en fin de compte, à un noyau numérique absolu et irréductible, dont la retranscription ressuscite la restitution intégrale du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle, qui devrait fluctuer entre la singularité géométrique du point, et la super-symétrie ambigüe du tore sphérique. Voilà donc, ce concept qui incarne la logique de toutes les logiques axiomatiques, qui régissent la fameuse et prestigieuse théorie naïve des ensembles qui, à partir de l’élément de l’ensemble vide, serait en mesure de créer la suite logique de tous les éléments de l’ensemble des entiers naturels, pour ne retenir ensuite que les rapports et les rapports des rapports régissant la cohésion de ces éléments dans un espace fonctionnel complet, normé et borné. Cet espace, ne fera plus la part entre le contenant et le contenu d’un univers qui évolue dans un ordre isométrique, déployant l’intelligibilité profonde et invisible de la singularité géométrique du point, dont les fonctions latentes ne s’expriment que dans le cadre de la loi du tout ou rien, qui régit l’intégrité du corps topologique de la droite réelle, au même titre que la complétude fini et sans bord, de l’enceinte de notre univers. EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 359, supersymétrie.Centerblog