THEORIE

Quand l’imagination philosophique et artistique, rejoint les fondements de la science unifiée

L’extrapolation du corps topologique de la droite réelle sur un diagramme matriciel carré à dix dimensions de bases, comme il a été mentionné da notre dernier article, ne fait que justifier et concrétiser, l’importance scientifique des exploits du concept de la géométrie des groupes, menés par les géomètres analytiques depuis des décennies. Cette géométrie a tendance à ramener forcement tous les axiomes de la logique des mathématiques sur un modèle géométrique d’ordre algébrique, comme l’identifie actuellement, la géométrie dite non commutative d’Alain Connes, qui aborde la physique quantique, dans un cadre ensembliste d’ordre matriciel, complexe, où il y a une sorte de dissociation entre l’algèbre classique et la géométrie du quantique, comme disait Hermann Weyl, « de nos jours l’ange de la géométrie et le démon de l’algèbre se disputent l’âme de chaque discipline mathématique ». Ce modèle topologique, devrait connecter tous les points de l’espace fondamental dans un ordre algorithmique fibré, qui raccorderait globalement et harmonieusement la pensée mathématique sur la complexité des symétries ambiguës qui régissent la complétude fonctionnelle de notre univers. Il s’agit là, de redresser notre façon de nous orienter convenablement au sein d’un univers dépourvu de repères fixes. Un univers, où tout point devrait incarner la mémoire historique de ses propres références géométriques sous-jacentes et multidimensionnelles, dites discrètes.
Le corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, laboure le champ unifié de l’espace fondamental dans son intégralité, en extirpant les racines du profil géométrique et physique des entiers naturels, dans un ordre segmentaire graduel. Ces segments, sous formes de brins d’énergie, vibrent par ordre de fréquences tout en se connectant, par groupes de classes d’équivalences, initiés par les normes axiomatiques de la théorie naïve des ensembles. Et, grâce à une fonction de complémentarité invariable, ces segments développent le pavage, isomorphe isométrique, d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, qui ne fait émerger à nos yeux, que les géométries macroscopiques classiques que nous côtoyons à l’échelle de notre spectre, à savoir, la géométrie euclidienne et la géométrie de Riemann, suffisantes d’ailleurs, pour décrire toutes les formes du monde sensible. Quant au monde quantique, l’évolution géométrique de ses évènements, se révèle discontinue, car dépourvue du flux continu de la fonction du temps, telle que notre intuition la perçoit en réalité. Mais, l’emplacement d’apparence aléatoire de ces évènements, reste dicté par l’engrenage des dimensions fonctionnelles, profondes et discrètes, de l’espace fondamental dans son intégralité. Pour dire tout simplement, que la nature du temps, emane des interactions thermodynamiques différentiées, ouvertes ou fermées, qui régissent l’équilibre et la symbiose du déterminisme manifeste et significatif du monde émergent. Le rythme du temps, s’efface alors, aux deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers, et c’est ça, qui donne finalement à un modèle topologique universel de base, l’allure d’être fini et sans bord, car notre perception réelle et logique du monde émergent, dépend énormément du rythme dans lequel se développent les rugosités évolutives des phénomènes naturels.
En résumé, le corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, incarne la logique suprême, sur laquelle devraient se rapporter le formalisme parfait, de toutes les intelligibilités physique ou morales de la nature. C’est ce que, nous détaillerons par la suite. EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 474, 17.08.2018, supersymetrie.centerblog.net