THEORIE

Le corps topologique de la droite réelle, et la dance des astres

Suite à notre dernier article ;

En vérité, l’extrapolation du corps topologique de la droite réelle sur un diagramme matriciel carrée à dix dimensions de base, procure aux entiers naturels, un sens physique abstrait, qui nous initie à remonter géométriquement, l’histoire gravitationnelle de notre univers. Cette géométrie nous permet d’élaborer, par similitude, les propriétés physiques d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, source de toutes les symétries plus ou moins complexes des phénomènes naturels. A travers la lecture de cet espace, nous allons élucider le mécanisme du fameux boson de Brout.Englert.Higgs, à l’origine du confinement différentiel et massif des ingrédients de base de la matière.
La masse des particules élémentaires de la matière, se distribue donc, arbitrairement, au sein de la configuration géométrique globale, qui dicte la composition appropriée des interactions fondamentales, et qui structure la complétude fonctionnelle du modèle standard de la physique quantique. Et plus exactement, le confinement de la matière sensible, résulte de la combinaison matricielle carrée à dix dimensions de base de l’adjonction hiérarchique des corpuscules élémentaires de la matière, au même titre, que le déploiement du corps topologique de la droite réelle dans sa nouvelle version dite, matricielle. Cette version, procure aux entiers naturels un sens physique abstrait, comme elle incarne, l’essence même, de l’efficacité incontestable des mathématiques dans les sciences de la nature. L’emboitement serial de la gamme complète des corpuscules élémentaires de la matière, résulte du confinement cinétique graduel, méthodique et systématique, de l’onde gravitationnelle primordiale, dont les fluctuations orthogonales divergent comme elles convergent dans un ordre sinusoïdale, entre les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers. Ces fluctuations, offrent à nos yeux et à notre analyse géométrique fonctionnelle, l’opportunité de raccorder concrètement, les vibrations à caractères aléatoires du monde quantique, au déterminisme spatiotemporel de la relativité générale. Ce qui est tangible, c’est que cette géométrie, performe la configuration topologique significative d’une onde composite, à l’origine du fameux mécanisme de Higgs(B.E.H). Celui-ci, induit un double champ électromagnétique croisé perpendiculairement, qui saisit les axes cardinaux de l’intégralité du corpuscule bosonique proprement dit, réservoir de toutes les catégories spectrales de la famille des ondes bosoniques. Ce corpuscule est en vérité, le précurseur des vibrations et du confinement massif du compartiment (fermionique) émergent de l’arbre généalogique des ingrédients de base de la matière. Autrement dit, les transformations par rotation, roulement et translation de l’onde gravitationnelle primordiale, arrivent à une phase où elles butent contre un seuil critique de transition, d’ordre ondulatoire composite et décisif, que nous appelons communément, le champ de Higgs(B.E.H). Celui-ci, bascule un monde gravitationnel pur, immatérialisé et atemporel, vers l’engrenage, parfaitement bien ordonné et coordonné, des interactions forcées (électrofaibles et nucléaires fortes), génératrices et régulatrices de la matérialisation massive et réelle du monde sensible. Quant aux forces gravitationnelles primitives, qui représentent les dimensions cachées de notre univers, elles demeurent omniprésentes à travers leurs fluctuations, sans obstacles et sans paradoxes, entre ce qu’on appelle l’infiniment grand et l’infiniment petit. Ces fluctuations gravitationnelles profondes, à forces insidieuses, maintiennent le rythme de fond permanent de la dance des astres, ainsi que la cohésion de la symbiose intelligible des phénomènes naturels. Il est clair donc, que le complexe ondulatoire de Higgs, puise sa propre masse de la première interaction significative des ondes gravitationnelles, comme il représente, le pont ou le carrefour qui fait la part entre un espace dépourvu de matière sensible, et un espace compact et massif, source de toutes les formes et les couleurs de la nature. Avec ce scénario, nous pouvons décrire, préalablement, toutes les propriétés physiques d’un espace fini et sans bord, dont la définition théorique, sera le point de départ d’un nouveau paradigme, susceptible d’unifier les sciences fondamentales, et par conséquent, de comprendre l’origine vérifiable des constantes dites universelles. Car celles-ci, sont dans la majorité des cas, déduites de l’observation et de la description empirique des phénomènes naturels locaux, liés naturellement, aux spectres très restreints de nos facultés sensitives.
En conclusion, pour parler de la masse des particules élémentaires, ou du mécanisme du champ de Higgs(BEH), il ne faut jamais perdre de vue, la fameuse dualité onde-corpuscule. Car celle-ci, brouille notre façon d’interpréter géométriquement la nomenclature exacte du modèle standard de la physique quantique, et ses rapports avec les principes évidents de la relativité générale. Et aussi, il faut absolument faire la part entre les interférences différentielles des familles d’ondes, et les interactions matricielles résultant de l’adjonction des corpuscules élémentaires de la matière, où chaque corpuscule représente une sphère familiale d’ondes. Et finalement, c’est l’emboitement hiérarchique de ces sphères, qui dicte les interactions fondamentales au sein du modèle standard de la physique des particules élémentaires, dans sa version dite super-symétrique. La formule mathématique qui fait passer d’une sphère à une autre, doit nécessairement, faire appel à la théorie des groupes, au sens large du terme, sous l’égide majestueuse du corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, berceau du nouveau paradigme universel, de la théorie des nombres et de la théorie des ensembles. A suivre… EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 477, 23.11.2018, supersymetrie.centerblog.net