THEORIE

LES TEMPS MODERNES. Une scène, qui nous laisse à réfléchir…

Revenons à la suite de notre dernier article, pour voir comment faire parvenir à nos chers lecteurs la simplicité du mécanisme du phénomène de Higgs(BEH), dans un cadre mécanique accessible à tout le monde.
La singularité de Planck et la gravité d’Albert Einstein, sont deux manifestations simultanément omniprésentes dans la configuration géométrique fonctionnelle, dite complète, de l’enceinte notre univers. Car, elles se nourrissent mutuellement en énergie, tout en tissant par leurs fluctuations croisées, les mailles plus ou moins serrées, de la toile de l’espace-temps. L’engrenage de ces deux phénomènes, se comporte comme une pince universelle à double charnière, de sorte que, lorsque les bras longs de cette pince s’écartent, ses dents extrêmes se resserrent tout en potentialisant les forces qui leurs sont transmises. Entre les deux charnières se performe un double segment courbe, qui simule les propriétés fonctionnelles du complexe ondulatoire de Higgs (BEH). Celui-ci convertit les forces gravitationnelles, en forces électrofaibles et nucléaires fortes, qui transcrivent les nœuds du confinement massif, intelligible et significatif, de la matière émergente dans toutes ses formes et ses couleurs. Cela, nous mène à comprendre tout simplement, que les collisionneurs empiriques de hadrons, ne font que casser les dents de cette pince universelle, débloquant ainsi, le confinement des ingrédients énergétiques de base de la matière, en les projetant indifféremment dans un contexte soumis à des interférences magnétiques artificielle, qui ne font que brouiller l’ordre naturel et harmonieux dans lequel se performe le flux électrodynamique fondamental, du modèle standard de la physique quantique. Par conséquent, l’interprétation de ces collisions, nécessite un effort analytique et synthétique colossal, pour ne pas dire désespéré, pour pouvoir redresser théoriquement, la nomenclature exacte de l’arbre généalogique des particules élémentaires de la matière.
L’extrapolation du corps topologique de la droite réelle sur un diagramme matriciel carré à dix dimensions de base, procure aux entiers naturels un sens physique abstrait, qui justifie géométriquement l’efficacité, jusqu’ici mystérieuse, des mathématiques dans les sciences de la nature. Ce diagramme segmentaire, à caractère dynamique, nous initie à construire l’intégralité d’un accélérateur de particules, virtuel et pluridimensionnel, cerné dans un espace fini et sans bord, de quelques centimètres carré seulement. Mais, ce qui est fabuleux, c’est que cet espace, est susceptible d’être dilaté pour rejoindre les horizons du cosmos, comme il est en mesure de se contracter graduellement pour rejoindre l’ère de Planck. Permettant ainsi, d’élucider la logique d’ordre géométrique, dans laquelle se performent les spectres énergétiques qui régissent la complétude fonctionnelle de l’enceinte de notre univers.
Maintenant, que nous savons exactement ce que nous cherchons, nous pouvons revenir sur nos exploits empiriques de la science physique, pour justifier la raison inébranlable des mathématiques dans la description abstraite de notre monde où, tout est nombres et classes d’équivalences d’intelligibilités, plus ou moins complexes, que nous désignons par, la théorie universelle des ensembles. A suivre…. EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 478, 03.12.2018, supersymetrie.centerblog.net