THEORIE

Dans cet article inédit, nous allons dévoiler partiellement, les fondements théoriques de tous les articles qui ont précédés, en insistant sur le rôle miraculeux, que jouent l’ensemble des entiers naturels et la théorie naïve des ensemble, dans l’élaboration d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, dont émergeraient les principes d’une théorie universelle , susceptible de rendre compte de l’architecture topologique de l’enceinte de notre univers, et les mécanismes qui conduisent au développement évolutif des phénomènes naturels.
Parler d’un espace fonctionnel complet, normé et borné, c’est faire allusion à un modèle géométrique fondamental, qui serait le berceau de la logique suprême qui dicte le raisonnement formel de la pensée mathématique. De ce modelé, naturellement préétabli, se transcrivent les lois et les principes qui gouvernent le déploiement d’une onde gravitationnelle pure, dite primordiale, dont les transformations itératives, finissent par tisser la trame de l’espace-temps, et notamment, le confinement réel et perceptible de la matière émergente.
Grace à une opération, douée d’un pouvoir de permutation qui transcrit l’intelligibilité du langage formel des mathématiques, en une réalité physique perceptible et justifiable. Nous formulons une fonction de complémentarité, d’ordre ensembliste, qui établit une parfaite relation bijective, entre les éléments d’un sous-ensemble très restreint (noyau générateur) de l’ensemble des entiers naturels. Cette opération, nous offre la légitimité logique de catégoriser l’ensemble des entiers naturels, en une série de dix groupes de classes d’équivalences de suites discontinues et illimitée de nombres absolus. Chaque suite, est dotée d’un principe d’injonction qui fait converger indifféremment les nombres du même groupe vers un coefficient commun spécifique. Ce coefficient, par le biais de son propre complément associé (dit operateur), forme un groupe de morphisme, qui projette harmonieusement un crible de points, performant une géométrie d’ordre affine, partie intégrante d’un espace fonctionnel complet, dont le carré des fonctions est sommable (au sens de Lebesgue).Cette simple opération d’ordre ensembliste, restreint le corps topologique de la droite réelle à une matrice carrée à dix dimensions de base, qui regroupe et cerne la combinaison complète des entiers naturels dans une enceinte corpusculaire composite. Développant ainsi, un espace fonctionnel complet, normé et borné, qui ne laisse aucun point errant, aussi ponctuel qu’il soit, sans lui attribuer une série dénombrable de coordonnées cartésiennes en mouvement, fluctuant sans obstacles et sans paradoxes, entre les deux bouts extrêmes d’un espace topologique, dont le roulement architectural est isomorphe isométrique. Cet espace, cerne l’emboitement feuilleté(en poupée russe) d’un nombre fondamental de dix topos de base, dont émanerait la logique suprême qui dicte les axiomes, d’ordres géométriques, nécessaires au développement d’une théorie universelle, susceptible de transcrire l’efficacité du formalisme mathématique, en intelligibilités physiques réelles et palpables. Ces intelligibilités, prescrivent les lois et les principes physiques, qui dictent les propriétés cinétiques des ingrédients de base de la matière, ainsi que les formes et les couleurs spectrales des phénomènes naturels.
A travers ses performances à la fois mathématiques et physiques théoriques, le corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, représente la synthèse topologique d’une géométrie algébrique d’ordre complexe (dite non commutative), capable de nous orienter dans l’espace-temps, quel que soit le choix hasardeux de notre position à travers l’enceinte de notre univers. A suivre EDDAAL.A
La grande théorie, EDDAAL.A, article 481, 2I.11. 2020, supersymetrie.centerblog.net