THEORIE

Après une pause de plusieurs mois, nous revenons sur la suite de nos articles. Et pour commencer, nous allons nous contenter de jeter un coup d’œil récapitulatif sur ce qui a été dit, afin de permettre aux nouveaux lecteurs, de suivre l’enchainement de notre raisonnement.

Pour nos chers lecteurs qui ont suivi l’intégralité de nos articles précédents, le but de notre thèse est clair, Il s’agit tout simplement de faire comprendre, qu’avec les éléments de l’ensemble des entiers naturels et les axiomes de la théorie naïve des ensembles, le pouvoir ingénieux de la pensée mathématique, est en mesure de démontrer que les entiers naturels sont, dans leur essence, de véritables objets géométriques, d’ordres segmentaires, qu’on peut combiner par rotation, roulement et translation, pour créer le corps topologique d’un espace métrique complet, normé et borné, à dix dimensions de base.             

En résumé donc, la série de nos articles précédents, développe les fondements d’une théorie ayant tendance à clarifier le contexte géométrique dans lequel se performe l’harmonie des interactions fondamentales de la physique quantique, et de réconcilier cette dernière avec le concept gravitationnel de la relativité générale. Les fondements mathématiques de cette théorie, dite unifiante, découle  tout simplement d’un principe de complémentarité, faisant converger l’ensemble des entiers naturels sur un noyau générateur restreint, que la théorie naïve des ensembles définit par transcription, comme une suite hiérarchique de segments élémentaires, dont le mouvement combinatoire cumulative appropriée, potentialise les dimensions de l’espace, et reproduit le corps topologique de la droite réelle, dans une nouvelle version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base.

Ce qui est extraordinaire sur le plan physique, c’est que la géométrisation du corps topologique de la droite réelle, à travers sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, ne se limite pas dans son exploit, à définir la structure topologique d’un espace dont le carré des fonctions est intégrable au sens restreint de Lebesgue, ou au sens large de la géométrie des espaces de Banach. Mais surtout, elle étale son pouvoir innovant à la description intégrale des interactions fondamentales de la gamme complète des ingrédients de base de la matière, y compris la force gravitationnelle, qui d’ailleurs, fait défaut dans le modèle standard de la physique quantique. La fusion dynamique entre l’espace et les éléments précurseurs de la matière comme nous venons de le voir, finit par créer les rythmes spectraux de la fonction du temps, qui à son tour, forge les fameuses courbures de l’espace-temps.

 Ce nouveau paradigme, nous incite finalement à comprendre, que la géométrisation du corps topologique de la droite réelle dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, incarne le développement de la nomenclature complète des particules élémentaires de la matière. Car, la version corpusculaire de ces particules, puise ses propriétés physiques, de l’adjonction du profil géométrique fonctionnel des entiers naturels. Autrement dit, la création de la matière, est miraculeusement conditionnée par l’esprit géométrique des entiers naturels.

La mystérieuse efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature, serait donc parfaitement bien justifiée dans la mesure où, aucun phénomène naturel ne peut se réaliser sans être préalablement pensé, modelé et animé, par un esprit géométrique fonctionnel discret, dont le formalisme abstrait, préconise significativement les performances de toute épreuve expérimentale…….à suivre  EDDAAL.A

La grande théorie, EDDAAL.A, article 484 ,  08.07.2023, supersymetrie.centerblog.net