En vérité, le corps topologique de la droite réelle, incarne le déploiement compact d’une droite complexe, qui balaye discrètement, les dimensions profondes d’un espace fonctionnel complet, dont émanent les fondements des rugosités qui forgent les symétries évolutives du monde sensible.

L’esprit géométrique fondamental de notre univers n’a pas d’âge proprement dit, car la notion d’âge ne s’applique pas à un phénomène qui règne sur le flux temporel propre à chaque objet de la matière émergente. C’est le cas du corps topologique de la droite réelle, dans sa version matricielle carrée à dix dimensions de base, qui nous incite et nous initie à imager la configuration topologique d’un espace métrique complet, dont la résolution géométrique, supersymétrique, fige le mouvement global de la fonction du temps. Chaque point de cette espace, jouit de son propre temps et de son propre spectre cinétique. Et, c’est la synchronie dynamique catégorique, connective, de tous les points qui est à l’origine du déploiement supersymétrique d’un présent permanent, carrefour, de tous les évènements cinétiques, passés et futures, éphémères, qui tissent l’homogénéité de la trame de l’espace-temps.

La résolution géométrique complète du corps topologique de la droite réelle, dans sa version dite, matricielle carrée à dix dimensions de base, nous révèle le profil qualitatif de l’ensemble des entiers naturels. Celui-ci se manifeste par la projection d’un espace vectoriel complet, faisant des entiers naturels, une suite sérial dynamique catégorique de segments normés dont le carre est intégrable au sens large de de la géométrie des espaces de Banach.

Cette résolution irréductible du corps topologique de la droite réelle, conduit à un topos, qui élabore une fonction dite de complémentarité. Celle-ci établit un pont de translation logique entre l’énergie cinétique des particules élémentaires, et la géométrie segmentaire des entiers naturels. Ce mariage hallucinant entre les ingrédients de base de la pensée humaine (entiers naturels), et ceux de la matière (particules élémentaires), nous conduit à développer l’ébauche topologique d’un étalon didactique, universel, sur lequel devrait se rapporter l’essence du flux algorithmique de toutes les intelligibilités, physiques ou morales de la nature. …A suivre…EDDAAL.A

La grande théorie. EDDAAL.A, article 491, 19.01.2024, supersymetrie.centerblog.net

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