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INTRODUCTION AUX FONDEMENTS DES ENTIERS NATURELS

Publié le 17/06/2013 à 11:17 par supersymetrie Tags : classe équivalence phase groupe nature monde fond article roman
INTRODUCTION AUX FONDEMENTS DES ENTIERS NATURELS

 

Ce qui est tout à fait émouvant dans une théorie dite du tout c’est que par définition elle nous permet d’aborder tout ce qui a été acquis et admis comme connaissance, de l’ajuster, de le valider ou même de l’écarter complètement. Dans notre article précédent nous avons vu qu’il y a des concepts tout a fait justes mais ils sont au fond, les différente facettes du même phénomène, par exemple ; corde, boucle, twister auraient comme fondement le concept de la fonction d’onde que tout le monde connait 

La nature se tisse par groupes ou plus exactement par classes d’équivalences d’intelligibilités plus ou moins complexes, mais qui reviennent toutes dans leur origine à une unité extrêmement simple, et c’est de là, où une vraie théorie unificatrice puise ses forces.

Toutes les intelligibilités qui régissent la cohérence unifiée du monde naturel, depuis leur berceau quantique jusqu’au cosmos, se groupent en classes d’équivalences liées par des relations dont la signification s’identifie au fur et à mesure que leurs échanges d’informations de nature cinétiques s’amplifient pour atteindre un seuil critique de transition de phase, qui fait basculer les liaisons d’une symétrie libre en une super symétrie dite liée sur laquelle se structurent les différentes variétés de systèmes thermodynamiques cycliques qui entretiennent la cohésion et l’étalage du monde sensible dans l’espace et dans le temps. La genèse de tout système devrait suivre le même processus, c'est-à-dire passer par une phase préparant ses fondements de base,  qu’on appelle la phase formelle, où les structures primordiales s’identifient, et prennent  positions dans une harmonie complète pour subir un changement de phase, c’es la phase de différenciation où les classes d’équivalences composites des intelligibilités structurant des corps plus ou moins complexes, mais toujours complets et stables, et qui se manifestent finalement sous forme de phénomènes physiques ou biologiques.  C’est comme ça que la théorie du tout nous présente globalement les fondements d’un monde unifié qui devrait être abordé par un outils scientifique unique. Ce qui est à la fois fabuleux et bouleversant, c’est l’émergence d’un concept tout à fait étrange qui nous incite par une sorte d’illumination intuitive, que cet outil ne serait rien d’autre que notre fameux ensemble des entiers naturels dans sa version dite matricielle. Les géométries matricielles des entiers naturels sont des intelligibilités abstraites qui puisent leur pouvoir d’un ordre formel sous jacent au monde sensible, et qui dicte ses principes et ses lois de proche en proche pour atteindre le réseau cognitif humain pour en faire son propre corps topologique sur lequel viendraient se superposer toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Ce phénomène ne fait que fermer un cycle universel qui fait connecter l’aboutissement d’un processus laborieux et raffiné, à son commencement, c’est à dire ses origines.

Nous reviendrons sur les entiers naturels et spécialement leurs classes d’équivalences, clé de voute d’une géométrie dite unificatrice des interaction fondamentales des ingrédients de base de la matière. EDDAAL.A